Je m'abonne

Akwatix ouvre les océans au grand public


Fort d’une expérience de plus 15 ans d’expérience en gestion de projets informatiques innovants dans le domaine des loisirs et du tourisme, Alain Dinis est d’abord un passionné de plongée.

Entreprendre - Akwatix ouvre les océans au grand public

Fort d’une expérience de plus 15 ans d’expérience en gestion de projets informatiques innovants dans le domaine des loisirs et du tourisme, Alain Dinis est d’abord un passionné de plongée.

«En 1996, j’ai découvert grâce à la plongée, la grande barrière de corail. J’ai alors pensé que le monde sous-marin ne devrait pas seulement être accessible à quelques millions de plongeurs mais à tout le monde. C’était les débuts d’Internet et du multimédia. 20 ans plus tard, les technologies sont désormais suffisamment puissantes pour faire de ce rêve une réalité».

La solution repose sur deux éléments. Le premier est une console aquatique nommée Dolphyn. Elle est équipée d’un PC, d’un écran 10 pouces, de caméras HD, d’un joystick, d’une multitude de capteurs, d’un GPS et d’une bouée connectée en 4G. L’autre est la plate-forme grâce à laquelle les internautes peuvent accéder en temps réel aux images partagées par les plongeurs.

Des images qui peuvent être accédées de façon classique grâce à un smartphone, une tablette ou un PC. Mais, et c’est là le principal intérêt, aussi à travers un casque de réalité augmentée ou de réalité virtuelle.

Pour Alain Dinis, rejoindre l’incubateur parisien est un accélérateur de développement évident  : «La convergence des plates-formes collaboratives, du streaming vidéo, des réalités virtuelle et augmentée est au coeur de notre projet de plongée virtuelle connectée. Or, c’est également une tendance de fond des innovations dans le secteur du sport. L’incubation au Tremplin nous permettra donc d’accélérer la mise sur le marché de ses solutions et de contribuer à la transition digitale de la plongée sous-marine».

Un projet aussi ambitieux nécessite de fédérer de nombreuses compétences des médias numériques (multimédia, la réalité virtuelle et augmentée, des technologies du Web …), de la robotique sous-marine, de la mécatronique, ainsi que des spécialistes du marketing et de la gestion de projet innovants… Des besoins pour lesquels le réseau de l’incubateur est un atout décisif.

À voir aussi