En faisant bénéficier Atos d’une trêve temporaire financière (suspension du cours, intervention des pouvoirs publics, action du mandataire ad hoc) et en redéfinissant une stratégie industrielle viable avec plusieurs partenariats et une ou deux cessions (États-Unis ?), il serait possible d’éviter un démantèlement et une catastrophe pour les 110 000 employés.
« On a bien aidé, à un moment donné, Peugeot, et on retrouvera des alliés pour des Joint Venture entre Airbus, Thalys, Gemini, Onepoint, Schneider… ou même SAP, Dell, Microsoft, etc. », explique Axel Rückert, ancien PDG de sociétés en difficulté et auteur du livre « Sauve qui sait« .
Donc, arrêtons toute collaboration avec des vautours financiers.
Henri Marin