Start-up : Truckfly facilite la vie des routiers
Truckfly révolutionne le quotidien des chauffeurs-routiers. Cette appli mobile géolocalise en effet les restaurants routiers, hôtels, douches, point d’accès Wi-Fi…
Truckfly révolutionne le quotidien des chauffeurs-routiers. Cette appli mobile géolocalise en effet les restaurants routiers, hôtels, douches, point d’accès Wi-Fi…
Fondateur d’Alter Eco, Tristan Lecomte, diplômé d’HEC, a connu dès le démarrage une succession d’échecs commerciaux, qui l’ont poussé in fine à revendre la PME. Mais l’entrepreneur a très vite rebondi en lançant Pur Projet et en misant sur l’insetting.
Beaucoup ont tenté plusieurs fois l’aventure entrepreneuriale avant de connaître le succès. Mais mettre la clé sous la porte et tourner la page n’est pas toujours facile. Les conseils de ceux qui ont su rebondir !
Depuis 1996, l’entreprise parisienne Apsys (60 M€ environ) s’illustre comme concepteur et promoteur immobilier dans le domaine commercial. La société fondée par Maurice Bansay, à qui l’on doit la réalisation de Beaugrenelle à Paris, entend dynamiser le commerce grâce à des lieux connectés.
Dans le giron du groupe LVMH depuis 1996, le bijoutier créé en 1936 par Samuel Fred, un fils d’immigrés argentins, s’illustre aujourd’hui avec une nouvelle façon de vendre de la haute joaillerie.
Edmond est né de la réflexion d’un incorrigible gourmand, Michael Abihssira, 37 ans : les quelques chaînes de magasins bio présentes sur le territoire français empruntent les mêmes codes, « peu sexy », et manquent de gourmandise… Quant aux produits sans gluten, ils sont aussi chers que peu appétissants. L’entrepreneur a donc décidé de faire bouger les lignes.
Le marché du commerce traditionnel intéresse de nombreuses start-up qui proposent des solutions mettant le numérique au service du point de vente.
Après le rachat de Cymbeline fin 2014 (en redressement judiciaire) par un ancien directeur de la société aux sœurs Joubert et Delaroche, créatrices de robes de mariées depuis 1972, ces dernières repartent de zéro. Ensemble, elles réinventent la boutique de mariage de demain à Nemours (77).
Pour Didier Onraita, 48 ans, cofondateur avec David Sutrat, 49 ans, de day by day, 1er réseau français d’épicerie en vrac, le commerce français souffre d’une « situation générale de déstabilisation », conséquence de « 50 années passées, sous la pression d’une distribution toujours plus concentrée, à renforcer le seul binôme industrie/commerce par la croissance exponentielle des volumes de ventes ».
Le paradis des parents a frappé fort en ouvrant sa première boutique ultra connectée. Avec TAO Connect située dans le centre commercial Auchan, boulevard Halluin à Roncq (59), le shopping prend des allures de jeu.
L’entreprise LDLC est en pleine mutation. Depuis 2012, l’entreprise lyonnaise de vente en ligne de matériel informatique développe son réseau de boutiques physiques.
« Notre flagship, c’est notre quartier général ! » s’exclame Adrien Sanglé-Ferrière, cofondateur avec Ambroise Parlos de la marque de montres Charlie Watch. Avec l’ouverture d’une boutique en octobre 2016, à Paris, Charlie Watch rassemble son point de vente et son siège.
Il y a 20 ans, le groupe parisien Duval fait le pari du retail park, cet ensemble immobilier commercial de périphérie, structuré autour d’un parking, à proximité d’une locomotive alimentaire et le long d’axes de circulation majeurs. S’il est aujourd’hui le format des parcs d’activités commerciales le plus plébiscité, c’est parce qu’il correspond au modèle économique recherché par les enseignes.
Lorsqu’il crée Garçon Français en novembre 2012, Vicky Caffet lance une marque de sous-vêtements pour hommes, débardeurs et accessoires destinée à la vente en ligne. Quatre ans plus tard, ses produits se vendent désormais dans une soixantaine de boutiques multimarques en France et une dizaine à l’étranger.
Les pop-up stores, ou boutiques éphémères, sont en plein boom depuis quelques années. Un phénomène qu’a bien compris MyPopCorner. Cette entreprise de Villeneuve-d’Ascq (59) s’occupe de la mise en relation entre bailleurs et locataires de magasins éphémères.
Pour Emmanuel Hembert, associé KPMG, spécialiste de la grande consommation, les retailers ont encore de beaux jours devant eux malgré l’explosion du e-commerce.
Auparavant négligée, l’image est aujourd’hui au cœur des transactions immobilières. De plus en plus d’agences font ainsi appel aux services de photographes professionnels pour mettre en valeur les biens en vente. Explications d’Edouard Guibert, fondateur de PictHouse, pionnier français de la photographie immobilière.
Avec un CA de 820 M€ et 3.200 salariés répartis sur 22 sites, le groupe chocolatier familial depuis trois générations, qui s’affiche comme le premier chocolatier de France, travaille sur le continent Africain de longue date puisqu’il a installé son usine de transformation du cacao en Côte d’Ivoire en 1996.
Transfuge d’un laboratoire de la Big Pharma Abbott, Inventiva met au point les premiers traitements contre certaines formes de fibrose. Et sur ce terrain, la petite start-up dijonnaise pourrait bien supplanter les grands laboratoires pharmaceutiques dans la course à l’innovation.
Symboles de la France, ces bérets béarnais ont bien failli disparaître. C’était sans compter sur la passion et la ténacité d’une jeune trentenaire qui a su moderniser ce produit traditionnel pour en faire un accessoire de luxe que s’arrache la clientèle asiatique.
Entre l’Afrique et Vergnet Hydro, implantée à Ingré (45), le torchon n’est pas prêt de brûler. C’est même une belle et longue histoire d’amour que ce fabricant de pompes hydrauliques cultive avec le continent depuis plus de 40 ans.
À quoi sert la transformation digitale pour une entreprise ? Explications de Matthieu Deboeuf-Rouchon, directeur pédagogique à l’Institut de l’Internet du multimedia (IIM).
La France, et plus particulièrement la région de Toulouse, a développé une expertise dans le domaine de l’Internet des objets (IoT ou Internet of Things). L’IoT Valley, l’écosystème créé à l’initiative de Sigfox, a lancé le Connected Camp, son accélérateur de start-up spécialisées. En 9 mois, il aide les entrepreneurs…
4.000 m² de plateaux et bureaux, 4 niveaux, un prochain data center, l’Ilab de Nièvre numérique, des postes de télétravail, une salle de visioconférence, 2 espaces de coworking avec 40 postes… Avec l’Inkub, Nevers fait le nécessaire pour attirer les jeunes pousses. «Nous nous sommes lancés sur un terrain nouveau…
Créé en 2001 et présidé par Patrick Kron, le fonds d’investissement Truffle Capital gère aujourd’hui plus de 750 M€ et investit dans les entreprises innovantes dans 2 secteurs d’activité, sciences de la vie et technologies de l’information. Truffle Capital vient de lever 150 M€ pour créer le 1er incubateur français…
Face à la déferlante du e-commerce, les points de vente traditionnels n’ont pas dit leur dernier mot. En s’adaptant aux nouvelles habitudes de consommation et avec le secours du numérique, ils peuvent même tirer leur épingle du jeu.
Créée en 2011 à Shanghai par les Français Pierre Wizman, 34 ans, et Pauline Cousseau, 28 ans, la marque de lunettes stylées et abordables renverse le marché de l’optique en proposant des ensembles montures et verres à partir de 6,99 €. Son secret ? Supprimer tous les intermédiaires et produire en Chine via sa propre usine. D’abord en ligne, L’Usine à lunettes by Polette s’est offert en 2016 une boutique parisienne (première d’un maillage européen), entièrement connectée, pour booster son CA s’élevant déjà à plus de 45 M€.
Placement préféré des Français, l’assurance-vie n’est pas uniquement un moyen de se constituer une épargne. En choisissant le bénéficiaire, c’est un également un outil de transmission défiscalisée particulièrement performant.
Les start-up, organisations porteuses d’innovations, inspirent toutes les entreprises, des petits groupes aux multinationales. La raison ? Leur mode de fonctionnement allie ambiance détendue et succès. Quels sont leurs secrets et comment les adapter dans son service ?
L’expérience, la connaissance des marchés, un réseau relationnel… apportent aux seniors nombre d’atouts pour créer une entreprise. Et ils sont de plus en plus nombreux à tenter leur chance. Des exemples à suivre !
Avec une belle croissance et, surtout, des besoins colossaux, le continent africain est une terre d’opportunités pour les entreprises tricolores. Tour d’horizon.
La France n’est plus le maillon faible européen, au contraire. Elle fait désormais jeu égal avec l’Allemagne et talonne le Royaume-Uni. Une situation favorable pour tous les acteurs de l’économie.
Créée en 2008 par Sylvain Laure, cette entreprise suisse propose des vêtements techniques à base de compression veino-musculaire, utilisés par les plus grands athlètes en triathlon, trail running, cyclisme et sports de raquette.
En 2008, après des études en école de commerce et 3 ans d’expérience en franchise aux côtés d’Alain Afflelou, Nicolas de Bronac s’associe à deux entrepreneurs pour ramener des États-Unis une technologie propre à base de silicone liquide, non nocif pour l’environnement et non toxique pour la santé, pour le nettoyage à sec. Aujourd’hui, Sequoia Pressing est le premier réseau français de pressings écoresponsables, fort d’un CA de 10 M€ sous enseigne avec plus de 50 magasins, dont 12 à Paris.
La transformation numérique des métiers traditionnels est l’un des enjeux économiques majeurs. C’est ce qu’a bien compris la start-up toulousaine Planity : cette plateforme de prise de rendez-vous en ligne s’adresse au marché des 120.000 salons et instituts de beauté français, dont seuls 3% sont actuellement équipés de ce type d’outil.
Orson est un éditeur de logiciel en modèle SaaS permettant de créer un site Internet sans compétence informatique. Évoluant dans un marché en forte croissance dans lequel la concurrence est déjà présente, Orson a fait appel à DW Inbound, la division spécialisée de l’agence digitale Digitaweb, pour créer une campagne de recrutement de nouveaux utilisateurs.
Les mois se suivent et se ressemblent. Comme en 2016, les introductions se font rare sur le début d’année. Si les entreprises des sciences de la vie recourent toujours à la Bourse pour se financer, les acteurs d’autres secteurs préfèrent le private equity ou la dette.
Les systèmes de retraite et de santé français constituent les postes de dépenses de loin les plus importants de notre protection sociale. Et avec respectivement 14% et 12% du PIB, ils se situent parmi les plus chers des pays d’Europe. Il est donc urgent de repenser notre modèle social.
« On parle souvent du mal-être des salariés mais on ne donne pas souvent la parole aux dirigeants. Or, ils se sentent parfois seuls et démunis face à une gestion complexe de l’humain, absentéisme, turn over, manque d’implication ou de projection… » explique Cindy Triaire, fondatrice du cabinet conseil Tremplin…
Futurs piliers économiques, les jeunes pousses sont-elles vouées à perdre leur effervescence et leur attrait au fil de leur croissance ? Pour Michel Cohen, directeur France & Afrique chez Exclusive Networks, trois astuces permettent de grandir en restant jeune.
Comment se fait-il que ce canal, dont beaucoup ont prédit la mort il y a des années, soit encore en pleine croissance ? Tout simplement parce que l’e-mail est notre identifiant unique, notre « carte d’identité numérique », explique Bruno Schreiber, directeur commercial d’Emarsys France.
Facebook a 1,79 milliards d’utilisateurs actifs mensuels et 10 milliards de messages envoyés chaque jour. Par conséquent, le réseau social dispose de 300 millions de Go de données stockées sur nous. L’industrie de la data a généré environ 21 Mds€ en 2016, selon Gartner. Des chiffres qui donnent le tournis.
Bien que constituant 50,6% de la population active, les femmes ne représentent que 21% des femmes ingénieures en France (13% aux Etats-Unis). Comment en est-on arrivés là ? Comment y remédier ? Comment redorer l’image de l’ingénierie auprès des femmes et rendre le milieu (plus) paritaire ?
Ingénieurs agro de formation, David Lebreton, 37 ans, qui a fait ses armes chez Bongrain, et Maxence de Warren, 33 ans, passé chez Compass, ont lancé en 2014 Persillé, un concept innovant de boucherie-restaurant qui propose une activité de boucherie en libre-service et un restaurant. Installé dans le XIIIème arrondissement de Paris, la jeune pousse (700.000 € de CA), lauréate 2016 du concours Passeport pour la franchise, comptera prochainement ses premiers franchisés.
Passionnés par la restauration, Yvan et Benoît Chambon, 37 ans, ont ouvert leur premier restaurant en juillet 2009 à Aucamville en Haute-Garonne. Baptisé La Paillote, le lieu n’a guère d’identité culinaire, à l’exception de la grillade au feu de bois… Pour leur second établissement, qu’ils baptisent La Côte & L’Arête, les deux frères ont choisi la zone du cinéma Gaumont à Labège, une implantation où ils sont obligés de se démarquer de la concurrence.
Fils, petit-fils et arrière-petit-fils de boulangers, David Borréani, 42 ans, maîtrise l’art du pain mais aussi celui de la pâtisserie.
À la tête du réseau de crêperie le plus rock’n roll de l’Hexagone, Julien Frohn, 38 ans, n’en est pas à son coup d’essai.
Fondateur de la marque de prêt-à-porter Psssy, revendue en 2010 après l’avoir développée en franchise (30 boutiques et 9 licences de marque), Laurent Gasparian, 49 ans, quitte Paris pour s’installer en Normandie, où il se lance dans l’immobilier. Entre deux opérations immobilières, ce bon vivant à l’idée de cuisiner des moules-frites dans un food truck. Le premier food truck Moule Walker fait ainsi son apparition en septembre 2015 à Caen. Avec son associé Alain Savino (éditeur du le jeu à succès pour enfant POG), Laurent Gasparian souhaite désormais décliner son concept dans l’Hexagone.
Diplômé de la Kedge Business School à Marseille, Thomas Battistini, 39 ans, a découvert au cours d’un stage à New York le concept de salades bar premium. Peu à peu, l’idée a fait son chemin dans l’esprit du fils de Noémi Carrelet, cofondatrice du réseau Lina’s.
La marque jeanswear fondée en 1928 affiche une croissance rayonnante. Innovation, distribution stratégique, marketing bien ficelé… le plus beau retour en force de ces vingt dernières années.
Dans leur boutique mobile, un camion de 5m de long et 2m de large, Johann et Lylian Allaf, la trentaine, ex-ingénieur financier et secteur immobilier, sillonnent depuis 2015 le pavé parisien. Le concept des Tailor Trucks ? Des boutiques mobiles qui se déplacent à la rencontre des clients pour des rendez-vous personnalisés sur Paris et l’Île-de-France pour confectionner des costumes deux pièces sur mesure à partir de 330€ ou des chemises à partir de 70€.
Le luxe abordable, c’est le créneau de François Chambaud et Nicolas Wolfovski, la trentaine, diplômés de l’ESSEC BBA, ex-Danone, Deloitte…, fondateurs en 2011 à Mulhouse des Nouveaux Ateliers, rebaptisés Atelier NA en 2016. Grâce à une cabine 3D qui prend près de 200 mesures en une seconde, ils proposent des vêtements 100% personnalisés au prix du prêt-à-porter : du smoking à partir de 395 € au chino à 85 €. Avec déjà 20 points de vente dans 4 pays (France, Belgique, Allemagne, Luxembourg), pour environ 16 M€ de CA, emploient 250 personnes et affichent une croissance de +70% par an.
Lancée en 2011, la start-up Tangible Display a développé une expertise autour du « phygital », contraction de « physique » et « digital ». Ses solutions, des présentoirs connectés et digitalisés, permettent aux retailers d’approfondir l’expérience client et d’augmenter le taux de conversion. Son fondateur, Jimmy Ricaut, nous dévoile les ressorts de cette révolution pour les boutiques physiques face aux pure players du e-commerce.
La mode masculine, en particulier le luxe abordable, affiche une belle croissance dans un secteur pourtant atone.
Dans leur blog BonneGueule créé en 2007, Benoît Wojtenka, 29 ans, et Geoffrey, 30 ans, décortiquent la mode masculine avec pédagogie et bienveillance, « un principe qui manque cruellement aux marques de mode ». Fort de 3 millions visiteurs par an, le duo se lance dans le e-commerce dès 2011, puis dans la confection de leur propre collection en 2014. Avec un succès retentissant.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : loin d’un phénomène de mode, le crowdfunding s’impose comme une composante majeure de l’écosystème du financement des entreprises françaises.
Les deux start-up françaises sont à la recherche de fonds pour accélérer leur développement. Kitchen Trooter a choisi la plateforme SmartAngels, tandis que Mutum a misé sur 1001Pact.
Charles Marinakis, président de CrédiPro, explique ce que peut apporter un courtier spécialisé en recherche de financement pour une PME.
Lorsque Hicham Tahiri et Karim Lourci créent Smartyl.ai, Apple vient de lancer l’iPhone 4S. «L’application vocale Siri commençait à décoller. L’intelligence artificielle à base de voix allait devenir un outil pour les entreprises», analyse Hicham Tahiri. Le projet de la jeune pousse parisienne est de «créer des agents conversationnels avec lesquels il sera possible de discuter».