Keybas, jeune pousse spécialiste de l’après-vente automobile lance KBPay, une nouvelle interface de paiement.
Créée par Mickael Perrin en novembre 2018, Keybas, anciennement « France Atelier » est une entreprise spécialisée dans le domaine de l’après-vente automobile. Elle répond aux trois besoins primordiaux du marché, la mobilité, la gestion et l’énergie. La jeune pousse offre également des solutions et technologies innovantes aux garages et concessionnaires.
Cette PME de 40 salariés est installée à Grenoble et vient de lancer une nouvelle plateforme, KBPay.
Directeur général et fondateur de Keybas, Mickael Perrin est diplômé à l’Université Grenoble Alpes et a exercé en tant que Manager Multi-Sites pour BYmyCar Group avant de fonder Keybas.
Objectif de KPPay, limiter les impayés
Avec la crise sanitaire, les paiements en plusieurs fois se sont multipliés et les risques d’impayés pour les commerçants également. C’est pourquoi, la startup Keybas a décidé de répondre à cette problématique en développant KBPay. Cette interface de paiement est simple d’utilisation et ludique. Elle permet aux consommateurs d’éviter les files d’attentes interminables aux caisses et pour les commerçants, elle permet de sécuriser les paiements afin de réduire les risques d’impayés.
Sur KBPay, toutes les transactions sont enregistrées et sauvegardées, c’est un gain de temps considérable pour le service comptabilité. KBPay sécurise à 100% les paiements en plusieurs fois. Le client effectue son paiement et le commerçant est tout de suite réglé, ce qui élimine les risques d’impayés. KBPay est facturé 3 690 euros et selon les services, l’abonnement commence à partir de 220 euros.
De plus, avec l’interface, il est possible de payer à distance. Il suffit d’envoyer une demande de paiement au client par sms, e-mail ou messagerie instantanée. Par la suite, le client reçoit un URL à usage unique qui dirige le client vers une page de paiement.
Keybas, cap sur l’Europe
La jeune pousse a étendu son marché à l’international, avec notamment la Belgique, l’Allemagne, l’Italie et l’Espagne. C’est la raison principale du changement de nom de l’entreprise. Disposer d’un nom international, France Atelier étant beaucoup trop restrictif, pour les dirigeants et les investisseurs.