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Azendoo, la start-up bordelaise qui veut détrôner les e-mails


Lancée en juin 2012, par Grégory Lefort, 41 ans, et Benoit Droulin, 43 ans, Azendoo est en passe de créer une véritable petite révolution dans l’univers des applications collaboratives. Développée pendant 2 ans, cette nouvelle solution, qui s’inspire des fonctionnalités les plus efficaces des réseaux sociaux, est un outil Web...

Lancée en juin 2012, par Grégory Lefort, 41 ans, et Benoit Droulin, 43 ans, Azendoo est en passe de créer une véritable petite révolution dans l’univers des applications collaboratives.

Développée pendant 2 ans, cette nouvelle solution, qui s’inspire des fonctionnalités les plus efficaces des réseaux sociaux, est un outil Web de gestion de projets et de tâches collaboratives, accessible via un ordinateur, une tablette ou un téléphone. Idéal pour synchroniser les messages, l’agenda, les tâches, les documents et le suivi des actions de tous les collaborateurs et partenaires.

Azendoo partenaire de Google

Après seulement 1 mois de commercialisation, la startup bordelaise a séduit la société d’investissements luxembourgeoise Halisol Groupe, qui est entrée au capital à hauteur de 1,3 M€. Une levée de fonds qui va permettre d’accélérer le développement de l’activité en France mais aussi à l’étranger, via une stratégie axée sur les partenariats. Et quels partenariats : Evernote, Dropbox, Box, Evernote et Google.

Azendoo vient de convaincre Skype

Ces derniers, focalisés sur la collecte et le partage de connaissance, ont parfaitement compris la complémentarité apportée par Azendoo, concentrée sur l’action et la productivité. L’ambition des deux hommes ne s’arrête pas à ces géants puisqu’ils ont dernièrement réussi à convaincre Skype et ses 600 millions d’utilisateurs. «Notre marché est global, le besoin est universel», se réjouissent les deux quadras. Ils ont de quoi puisque, en seulement 1 an, le nombre d’utilisateurs atteint déjà 150.000, répartis dans plus de 100 pays.

D’ici 2015, ils ambitionnent de passer le cap du million d’utilisateurs, en misant notamment sur les pays émergents, moins «banckable» que les États-Unis mais là ou leurs concurrents ne vont pas ! Avec une conviction que rien ne les arrêtera.

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