L’enseigne, créée par Annie et Loïc Dugast en 2001 rencontre toujours le même succès depuis son ouverture en revisitant la crêperie traditionnelle et en lui donnant un souffle nouveau.
Ici, pas d’assiettes, le couple voulait « anoblir et casser l’image de la crêperie traditionnelle », les crêpes sont incorporées dans des cornets durs, que l’on peut manger dans la rue ou en marchant.
Nous sommes loin des premiers pas de 2001, ou le couple ouvrait sa première crêperie à La Baule sur la place du marché (Loire-Atlantique).
Le nouveau mode de vie des clients
Avec le Covid, la clientèle a radicalement changé son mode de consommation. L’arrivée du street food, ainsi que la vente à emporter, associés aux nouveaux horaires décalées, et le télétravail ont permis à Barapom de se lancer avec succès, l’enseigne étant parfaitement inscrite dans l’air du temps. D’après des études, le temps du déjeuner est passé à 20 minutes, alors qu’il était auparavant de 1h30 !
Après avoir ouvert d’autres magasins, à Saint-Nazaire, au Pouliguen, le bouche-à-oreille fonctionnant bien, de nombreuses demandes de franchise ont été proposées aux associés.
La franchise était la suite logique
Dorénavant, 10 boutiques sont ouvertes et le développement s’accélère, avec l’arrivée de deux à trois nouvelles enseignes par an. Certaines sont totalement indépendantes, dans d’autres, Barapom détient des parts minoritaires, pas de règle, juste le bon choix au bon moment. Pour augmenter le chiffre d’affaires, tous les restaurant proposent aussi les produits Barapom, chocolat, caramel, pâte à tartiner, cidre, provenant directement de Bretagne évidemment.
La plupart des restaurants disposent entre 25 à 150 m2 pour 20 à 60 places assises.
Depuis 20 ans, l’enseigne connaît parfaitement la rentabilité d’un restaurant, en moyenne, le chiffre d’affaires se situe entre 450 000 et 550 000 euros, avec seulement 4 ou 5 employés.