Depuis 1833, cette entreprise familiale, située en Drôme provençale fabrique des biscuits, gâteaux, nougats et chocolats, avec ses propres recettes maison.
Le savoir-faire de l’entreprise est transmis depuis 6 générations et à chaque génération apporte sa touche personnelle afin d’améliorer les produits existants et d’innover avec les obligations et les nouveaux goûts de sa clientèle, de plus en plus exigeante.
Ingrédients 100% naturels
L’entreprise est installée à Saint-Maurice-sur-Eygues (Drôme) depuis 90 ans, elle est maintenant gérée par la 6ème génération de la famille Bédouin, Frank Bédouin. 0 l’origine, c’est Joseph Bédouin qui se lance dans le commerce de produits locaux, amandes, tilleuls, dans son herboristerie. Ce n’est que bien plus tard, en 1964, que l’entreprise bascule dans sa propre fabrication de biscuits, à partir de ses amandes concassées ou effilées. Les jumeaux Jean-Paul et Jean-Louis Bédouin, transforment les amandes en de délicieux et magnifiques biscuits, l’aventure débute.
1995, acte de naissance de la Biscuiterie de Provence
C’est effectivement en 1995, que l’entreprise familiale prend un tournant important. A la suite du rachat d’un biscuitier local (La Croquette de Vinsobres), la Biscuiterie de Provence naît officiellement.
En 2023, la gamme s’est considérablement élargit afin de satisfaire une nouvelle clientèle, si le sucre reste le produit phare, l’entreprise a également développé une gamme salée, une nouvelle gamme bio et une autre sans gluten.
Tous les produits sont issus de producteurs locaux à base d’ingrédients 100% naturels. Au total, La Biscuiterie de Provence, c’est plus de 70 recettes dont 25 en bio, 60 tonnes d’amandes qui se transforment en plus de 250 tonnes de biscuits et livrés dans un réseau de plus de 1000 clients.
Un retour à la croissance après le Covid-19
Comme beaucoup d’entreprise, la biscuiterie a durement été touchée par la crise du Covid, mais depuis 2021, elle se redresse considérablement, sur l’exercice 2021, elle a réalisé un chiffre d’affaires de plus de 3 millions d’euros, en nette progression, et 2022 devrait confirmer le redressement.