Je ne rêvais pas de faire des frites. Mais entre cela et passer mes journées à remplir des tableurs Excel… – spoiler alert : j’en remplis, mais c’est pour la bonne cause donc je le vis bien. Moi, je voulais devenir astronaute, flotter dans l’espace et explorer l’infini. Sauf qu’entretemps, j’ai trouvé mieux. Car, soyons honnêtes, l’aventure spatiale ne vaut pas celle d’un bon Whopper et d’une frite King size. Aujourd’hui, je suis dans mon restaurant Burger King, prêt à conquérir les papilles à coups de cheddar.
Je rêvais de devenir astronaute. Flotter dans l’espace, marcher sur la Lune… Tout ce délire cosmique. Mais la vie n’est pas de la science-fiction, et j’ai vite compris que j’avais plus de chances de finir comptable que dans l’ISS.
Alors oui, je voulais devenir astronaute. Mais aujourd’hui, je veux MON Burger King ! Parce que, franchement, l’espace, c’est grand, c’est vide et ça manque cruellement d’oignons croustillants. Et qu’est-ce que je ferais à 400 000 kilomètres de la Terre sans un Whopper entre les mains ? La pesanteur zéro, c’est fun cinq minutes, mais ça ne vaut pas le poids d’un Steackouse qui fond dans la bouche.
Et puis pour être astronaute, faut s’entraîner, faire des études, passer des tests physiques,… tout ça pour quoi ? Pour finir coincé dans une boîte de conserve orbitale, en train de manger de la purée en tube. Désolé, mais moi je préfère les frites King size, bien dorées et croustillantes, avec une petite mayo qui dégouline.
Et puis soyons honnêtes : être astronaute, c’est cool sur le papier, mais qui se souvient du nom du troisième type qui a marché sur la Lune ? Hein ? Personne. Alors que le gars qui ouvre son propre Burger King dans le quartier, lui, il est sûr de devenir une légende. Ouvrir un Burger King, c’est la garantie d’être le King, le héros des papilles, le maître incontesté du bacon grillé !
Que la force BK soit avec toi !
Pourquoi Burger King ? Parce que c’est l’enseigne star : sa notoriété, ses process en béton armé, sa communication qui claque. C’est un nom qui fait saliver rien qu’en l’entendant, une marque qui n’a pas besoin d’un GPS pour se repérer.
Là, tout de suite, je suis exactement là où je dois être ! C’est l’appel du ventre, l’appel du cœur, l’appel du bon. Parce que chez Burger King, on ne fait pas semblant. On grille, on frit, on ajoute du cheddar à volonté. Chez nous, chaque burger est une œuvre d’art, chaque frite une aventure croustillante.
Ouvrir un BK, c’est aussi rejoindre une équipe avec plus de 150 copains entrepreneurs, à la tête de plus de 550 restaurants en France. Quand on se retrouve tous au sommet du “G Faim”, notre convention annuelle, je ne regrette pas de rater le G20. Parce que, j’ai le pouvoir de créer des emplois, soutenir des associations locales, et voir chaque jour le fruit de mes efforts.
Et c’est pour ça que j’ai décidé de troquer mon rêve de combinaison spatiale contre une casquette BK. Parce que le vrai voyage, c’est celui qu’on fait avec des frites dans une main et un milkshake dans l’autre. Parce que le vrai défi, ce n’est pas de planter un drapeau sur Mars, mais de satisfaire chaque client avec des burgers grillés à la perfection.
Alors oui, je rêvais de devenir astronaute. Mais aujourd’hui, je sais que ma place est là, prêt à griller des Whoppers à la chaîne. Parce que la vraie mission, c’est de nourrir le monde, un burger à la fois. Vous pouvez garder votre Lune déserte : moi, je préfère un restaurant plein, le bruit des commandes qui s’enchaînent et l’odeur irrésistible du bacon grillé.
Plus d’infos : www.franchise.burgerking.fr
