Sur un marché devenu très concurrentiel et où les transactions entre particuliers représentent 40% du marché, OptimHome bénéficie du soutien financier de son actionnaire Artémis, holding patrimoniale de la famille Pinault, pour se développer.
«Nous voulons renforcer notre présence sur les villes de plus de 200.000 habitants et à l’international, notamment en Allemagne qui est un pays urbain à 77% du territoire», commente Olivier Colcombet, président du réseau qui se voit comme «un facilitateur de réussite».
Les 1.245 mandataires que compte OptimHome ont la possibilité d’évoluer vers des postes de manager et de chef d’équipes très rapidement, avec un ajustement de la rémunération. «Les économies que permettent ce modèle sans frais d’investissement dans un local et sans droits d’entrée, nous les reversons au conseiller. Il est rémunéré pour la transaction qu’il réalise, et touche une commission sur les transactions réalisées par son équipe», détaille le DG de 49 ans.
Le réseau, qui croit en l’épanouissement personnel et professionnel de ses travailleurs indépendants, demande 129 € par mois à ses conseillers immobiliers en échange «d’une image de marque forte au sein d’un groupe connu et d’un accès à plus de mobilité et de liquidités». L’avantage d’intégrer un réseau au lieu d’une agence classique ? Le marketing de réseau, l’idée de partage systématique qui est à l’origine de 20% des transactions de OptiHome qui fête ses 10 ans d’existence.