A 1h de Paris en TGV, Lille cumule un cadre de vie agréable, une économie dynamique et une population jeune. Les investisseurs ne s’y trompent pas. La période est propice aux petites surfaces, du studio au T1, en prévision de la rentrée de septembre ?
Mais les T2 et T3 représentent le gros de l’offre sur le marché. Il faut compter en moyenne 130.000 € pour un T2, 160.000 € pour un T3, et plus de 220.000 € pour un T4. Le Vieux-Lille et l’hyper-centre affichent les prix les plus élevés. Du cachet, de beaux volumes, un parking ou une terrasse les font encore grimper. Les maisons s’échangent en moyenne entre 2.000 et 2.500 € le m² contre 3.000 € du m² pour les appartements dans l’ancien.
Si Lille intramuros s’adresse plutôt aux acquéreurs dotés d’un budget important, la métropole et ses environs peuvent contenter ceux qui disposent d’une enveloppe moindre, à l’instar des primo-accédants qui, avec un panier moyen de 250 000 €, sont réduits aux plus petites surfaces, à moins de sortir de Lille.
Certains secteurs périphériques, comme Bois-Blancs, qui a pris de la valeur grâce à la présence d’Eura- Technologies, ou Hellemmes ou Fives, à 10 minutes du centre-ville en métro, sont plus accessible. Les acquéreurs peuvent espérer y dénicher une maison de 1930 avec travaux pour 100.000 €.