JL Partners est un réseau spécialisé dans l’immobilier d’entreprise. Né en 2016, aujourd’hui, il entend consolider son savoir-faire pour mailler davantage l’hexagone. Pour ce faire, il est en quête de profils, mandataires ou licenciés, soucieux de partager les valeurs d’un réseau et l’envie de s’inscrire dans la vie économique de son territoire. Rencontre avec Julien Liot, fondateur du réseau JL Partners.
2024 est une année emblématique pour vous ?
En effet ! le réseau JL Partners est né en 2016. En 2019, les premiers conseillers indépendants ont été recrutés sur le territoire de la Nouvelle Aquitaine. A ce jour, nous comptons neuf mandataires et une assistante. Cette année, nous avons décidé de nous appuyer, en plus de l’équipe de mandataires, sur un réseau de licenciés. La licence de marque est en effet un statut rapide à mettre en œuvre qui repose sur l’idée d’un partenariat gagnant-gagnant. Mandataires ou licenciés, chez nous, ne travaillent que sur le secteur de l’immobilier d’entreprise, une spécificité qui fait aussi notre force sur le marché et qui explique l’importance que nous accordons à l’indépendance de nos conseillers.
Rappelez-nous en quelques mots le cœur de métier de JL Partners ?
En fait, nous nous positionnons en quelque sorte comme une agence matrimoniale pour les professionnels ! Je m’explique : l’objectif de nos conseillers est de trouver le bon bureau, le bon local, le bon fonds de commerce ou le bon entrepôt qui va correspondre à son client. Parmi nos dernières opérations : l’ouverture d’un magasin Noz à Mérignac ou d’un campus secondaire pour le groupe Compétences et Développement à Bruges. Nos conseillers interviennent en tout cas sur les volets, achat et vente, et toujours sous mandat.
Quelles sont les ambitions que vous avez pour le réseau JL Partners ?
D’ici fin 2024, nous espérons compter une vingtaine de conseillers, mandataires comme licenciés, dans toutes les villes de plus de 50 000 habitants. Récemment, un mandataire nous a rejoints sur Rennes. A trois ans, JL Partners ambitionne de s’appuyer sur un professionnel dans chaque ville de plus de 50 000 habitants. Côté profils, nous tenons autant à recruter des mandataires que des licenciés. Si les premiers n’ont pas l’obligation de diplôme, les licenciés qui nous rejoignent doivent eux disposer d’une carte de transaction et de leur propre structure. En revanche, le licencié a plus de droits que le mandataire, notamment en profitant d’une exclusivité sur son territoire.
Concrètement, comment accompagnez-vous vos conseillers ?
Si le mandataire a une semaine de formation au préalable comprise dans son package, le licencié, lui, est formé obligatoirement sur notre logiciel métier et de façon optionnelle, sur la partie immobilier d’entreprise, selon son expérience. Ce qui nous différencie par rapport à nos concurrents, c’est notre logiciel puisque nous le développons nous-mêmes. Il intègre des fonctionnalités qui aident le conseiller au quotidien comme la proposition automatisée de matchs, qui permet dès lors, une rotation plus rapide des biens. C’est aussi une belle aide pour présenter les biens et un outil d’aide à la décision très efficace.
Comment convaincriez-vous un candidat de rejoindre JL Partners ?
Nous incarnons d’abord une jeune franchise sur le secteur de l’immobilier d’entreprise. On peut dire que notre culture et nos valeurs ont vocation à casser les codes du secteur. Nous travaillons aussi sur les dossiers de proximité avec cette idée de se positionner comme un acteur local au service des collectivités et de leur développement. Nous n’avons pas de profil type. Seule condition : avoir le diplôme pour nous rejoindre comme licencié. Au final, intégrer JL Partners, c’est gagner cinq ans sur le développement de son agence.
