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Le management, une problématique globale pour les entreprises


Si obtenir le meilleur de la part de ses équipes reste, aujourd’hui encore, un des buts premiers de management ; les méthodes pour atteindre cet objectif ont profondément évolué. Cela tient bien entendu au progrès technique (et aux mutations qu’il a engendrées), mais surtout à une relation au travail profondément changée. Les entreprises doivent dès lors former leurs managers à de nouvelles pratiques, ainsi que le propose l’EFE, marque spécialisée du Groupe ABILWAYS sur ces questions.

Entreprendre - Le management, une problématique globale pour les entreprises

Le travail a longtemps été vu comme une manière de se réaliser. A la suite de la crise du Covid-19 et d’une généralisation du télétravail, mais également de l’arrivée de nouvelles générations sur le marché du travail, ce n’est plus aussi vrai. Nombre de dirigeants déplorent ainsi une attitude passive de leurs collaborateurs, et on parle aujourd’hui de plus en plus de quiet quitting et de présentéisme.

Les attentes des salariés vis-à-vis de leur entreprise sont régulièrement plus exigeantes (notamment pour les questions de RSE) alors que leur approche devient utilitaire. La performance reste cependant un impératif pour assurer le développement des entreprises, et il est pour ce faire nécessaire que les salariés soient mobilisés pour atteindre les objectifs fixés. Les managers doivent dès lors se concentrer sur ce point-clé : obtenir l’engagement de leurs collaborateurs.

Un nouveau rôle pour les managers

L’engagement des équipes, leur adhésion au projet et aux objectifs sont essentiels à la performance globale. Mais pour cela, les managers doivent à la fois présenter un message clair et adapté (point parfois complexifié par leur propre hiérarchie), mais également être attentif à leur manière de délivrer ce message. Le leadership, mais surtout la posture du manager sont dès lors cruciaux, car il est nécessaire de trouver les bons équilibres. Ainsi, les managers ont longtemps entendu que « la confiance n’excluait pas le contrôle ». Mais cette vision, somme toute directrice, n’est plus adaptée aux situations actuelles : le télétravail induit un accompagnement plus complexe des équipes, et les managers peinent à trouver le juste équilibre entre confiance et contrôle. Aussi est-il désormais plus pertinent pour les managers de se positionner en tant que facilitateurs du travail de leurs collaborateurs.

Cela implique toutefois une communication ad hoc, intégrant une dimension de proximité (doublée d’une écoute des ressentis des équipes par rapport à leur travail et à ses conditions) et de bienveillance pour laisser à chacun un espace d’expression souvent bénéfique à l’ensemble des équipes. Cela apparaît d’ailleurs comme une nécessité alors que la QVT est devenue un enjeu majeur en entreprise. Toutefois, il convient de ne pas négliger l’objectif premier de ces pratiques : l’obtention de l’engagement au service de la performance, et l’adage des managers pourrait aujourd’hui être que « la bienveillance n’exclut pas l’exigence ».

L’adoption d’une posture de facilitateur, de même que le développement du leadership, n’ont rien d’inné et ne peuvent s’apprendre d’une manière uniquement théorique. L’EFE mise par conséquent sur son approche concrète de ces enjeux, adaptée aux situations rencontrées par les apprenants – et favorisant les échanges et partages d’expériences entre ces derniers – pour rendre ces enseignements pertinents dans tous les secteurs et pour toutes les entreprises.

Plus d’infos : www.efe.fr

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