Après la cession pour le moins contreversée d’Alstom au géant américain, ce serait une excellente nouvelle pour notre souveraineté, tant énergétique, que militaire. Les discussions au sujet du rachat des activités nucléaires de GE seraient en cours. Ces échanges sont suivis de près au plus haut sommet de l’État.
Achetée par l’énergéticien américain en 2014 à Alstom et placée dans une co-entreprise (Geast) détenue majoritairement par GE (80 %), l’activité turbines pour centrales pourrait revenir en France. Considérée comme une technologie stratégique, dont la vente avait fait grand bruit à l’époque, par le gouvernement, un rachat par une entreprise française est plébiscitée. Montant total de l’opération ?
Un milliard de dollars. Selon Le Canard Enchaîné, le projet de reprise mené par Frédéric Pierucci, l’ancien directeur de l’activité chaudières d’Alstom, et le fonds Sénéva Capital, serait en pole position pour ce rachat. Les groupes EDF et Orano seraient bien avisés de se mobiliser aussi…