Riyad, la capitale de l’Arabie Saoudite, qui vient d’être choisie pour accueillir l’Exposition Universelle 2030, se définit comme une passerelle vers les décennies futures. Avec le rythme des changements qui s’accélèrent dans les domaines de l’environnement, de la technologie, de l’économie et de la géographie, le monde de 2030 sera très différent de celui d’aujourd’hui, le voyage vers l’Expo 2030 étant un voyage d’exploration collective, de questions émergentes et d’imagination aidant à préparer les décennies à venir.
Busan et Rome proposaient pourtant des candidatures intéressantes pour la prospective des villes et des territoires de demain.
Dans la zone portuaire du nord de Busan, la Corée du sud envisageait de transformer notre monde pour naviguer vers un avenir meilleur.
La candidature à l’exposition universelle 2030 à Busan offrait à tous les participants l’occasion de reconnaître les défis mondiaux et de réfléchir à l’environnement et aux nouveaux modes de vie de l’humanité. Ainsi, les visiteurs deviendraient les témoins convaincants d’un nouvel avenir et d’une transformation opérés dans le monde entier sous leurs yeux en temps réel en utilisant les nouvelles technologies, telles que l’IA, l’IoT et la 6G.
Seule capitale de l’Union européenne nominée pour l’Expo 2030, Rome, au cours de ses presque trois mille ans de développement, a su se réinventer, au point de mériter le surnom de « ville éternelle ».
Ses racines, qui résident dans la recherche continue d’innovation, d’art et d’intégration entre les religions et les cultures, deviennent aujourd’hui le nouveau point de départ vers un avenir d’hospitalité et de qualité de vie.
Rome avait une occasion unique de combiner l’Expo 2030 avec un autre événement de classe mondiale : le Jubilé de 2025, qu’elle se préparait déjà à accueillir.
Kevin LOGNONÉ