Dans un marché de la robotique en plein boom — estimé à 100 milliards d’euros en 2018 —, l’entrepreneur récidiviste Boris Kesler (Lepiq, MainTool) replonge en lançant Wink, le premier robot éducatif « made in France ».
Fondée il y a moins d’un an, sa start-up fait le pari que ce sont les jeunes générations qui devront intégrer les robots dans leur quotidien a donc fabriqué le premier robot éducatif français, nommé Winky.
« Pour garantir l’utilité de nos produits, nous avons créé un comité éducatif, composé de pédiatres, de chercheurs, de professeurs et de familles, qui valide rigoureusement toutes nos applications ludo-éducatives à destination des enfants de 5 à 12 ans », a expliqué le fondateur.
Avec déjà 10 000 utilisateurs convaincus par le robot, Mainbot va passer à la phase de production (les pré-commandes ont débuté en mars 2019), qu’elle financera grâce à une levée de fonds de 500 000 euros via la plateforme d’investissement Raizers. Mainbot avait déjà levé 330 000 euros début 2018 auprès de business angels.
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