Après avoir étudié 8 start-up, François Meyssonnier, professeur de contrôle de gestion à l’IAE de Nantes, est arrivé au constat qu’une start-up ne pouvait pas être considérée comme des PME classiques : «On peut la qualifier de PME entrepreneuriale dans son projet et de managériale dans ses méthodes ou de grande entreprise en miniature. Cela se manifeste clairement dans le champ particulièrement significatif du contrôle de gestion».
Ainsi, le principal outil utilisé dans les start-up émergentes est le budget de trésorerie, le compte de résultat mensuel simplifié ainsi que les tableaux de bord opérationnels de production ou commerciaux. Une souplesse qui peut être source d’inspiration.