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Abstention : la démocratie en charpie

Les résultats de ce premier tour des élections locales soulignent avec une clarté fascinante le rejet par le pays de la manière dont le pays est gouverné. Sur le plan local il est évident que le citoyen ne comprend plus et accepte de moins en moins le mille-feuille territorial qui…

Thermomix a choisi une PME française

La PME spécialiste des batteries de cuisine pour les professionnels va franchir un cap en devenant d’ici un an l’un des principaux fournisseurs du groupe allemand Vorwerk Elektrowerke, qui fabrique le Thermomix. Après Guy Degrenne, Bourgeat (50 M€ de chiffre d’affaires) devient le deuxième producteur français à équiper le célèbre…

Je start-up mon rêve : Eloi Gerard, entrepreneur belge à Shanghai

« Vous les journalistes, vous pourrez bientôt être substitués par un personnage virtuel!» Eloi Gerard, producteur de films qui a participé plusieurs fois au festival de Cannes, a décidé en 2014 de s’installer en Chine.

Entrepreneur dans l’âme, pour lui les nouvelles technologies en Chine étant prometteuses, il s’est donc lancé dans le développement de produits VR et AR. Dans son dernier projet, et à l’aide de la réalité augmentée, vous pouvez faire apparaître un personnage virtuel, dans votre chambre d’hôtel. Visionnons la vidéo pour savoir à quoi ressemblera le monde virtuel !

L’économie chinoise continue de tirer le wagon de l’économie mondiale

« Du côté de l’offre et de la demande, l’économie chinoise continue de se redresser. » C’est ce qu’ont constaté certains économistes récemment interrogés par Bloomberg. Et les statistiques récemment publiées renforcent la conviction de ces économistes. Comme l’a commenté le journal russe Rossiyskaya Gazeta, la Chine sera une «…

« Pour un regard aiguisé sur le télétravail »

Par Maître Bouyssou, membre du think tank de la Chambre FNAIM du Grand Paris et Avocat au barreau de Paris, spécialiste en droit du travail, Cabinet Bouyssou Tribune. Les mesures de prévention préconisées dans le cadre de l’état d’urgence voté en mars 2020 conjuguées aux aspirations à une meilleure articulation…

Acheter sa résidence principale ou investir dans l’immobilier locatif ?

Pour certains, cette question ne se pose même pas tant le fait d’être propriétaire de sa résidence principale (RP) est essentiel. Cependant, dans certains cas, la ruée vers la RP est tout sauf une bonne idée. Si, par exemple, vous n’avez encore jamais acheté de bien, que vous êtes jeunes…

L’articulation des relations sociales en entreprise

Il m’arrive souvent de débattre, avec mes collègues, de l’articulation des relations sociales en entreprise car, consciemment ou non, le premier niveau hiérarchique, la base, comme on dit parfois, là où se réalise effectivement le travail, est généralement plutôt mal payée, peu respectée et doit se nourrir, essentiellement, des belles…

Les nouveaux entrepreneurs misent sur l’industrie

Les PMI et ETI sont déjà prêtes à repartir de plus belle et à construire un avenir où la croissance ne sera pas un vain mot. Pour cela, un seul mot d’ordre : investir dans l’appareil de production et réindustrialiser sur le territoire français.

75 millions d’euros pour Mnemo pour lutter contre le cancer

L’écosystème français de la biotech est en train de saisir que la rapidité de mobilisation financière devient un enjeu essentiel si notre pays veut continuer à rester dans la course de la recherche et du développement mondial. Prenez le cas de Mnemo, cette incroyable jeune biotech tricolore, spécialisée dans le…

Entreprises, particuliers : faut-il supprimer les droits de donation ?

Pour débloquer l’argent épargné par les Français pendant la crise, Bruno Le Maire s’est déclaré favorable à un coup pouce fiscal favorisant les donations intra-familiales. Une mesure qui rappelle celle avancée par certains en faveur d’un allégement, voire d’une suppression, des droits de donation sur les entreprises. Que faire des…

Presse : lettre ouverte du Groupe Coopératif MLP

« Chers Éditeurs, Nous entrons en période d’élection, je suis désormais systématiquement attaqué par Roland le Néel, mon colistier de 2016. Pour faire cesser toute désinformation, je souhaite porter à votre connaissance quelques éléments factuels. Roland le Néel a décidé de démissionner de son poste d’administrateur au bout de 5 ans…

International : comment le groupe Guillin s’est installé en Allemagne

Ce groupe français créé en 2012 a connu un développement continu depuis sa création, notamment grâce à la diversification de l’offre. Il est devenu le leader européen des solutions d’emballage alimentaire. Pour ses premiers pas à l’international, l’entreprise commence doucement par la création d’un service export en 1986. Puis, elle…

Cuisines AvivA : entrez dans un réseau passionné et passionnant

Cuisines AvivA, c’est le spécialiste de la cuisine depuis 20 ans maintenant. A sa tête, deux fondateurs passionnés par leur produit et les produits de qualité, la vente et la satisfaction des consommateurs. La marque a même été reconnue meilleure enseigne « qualité de service » 2019 par le magazine Capital. Depuis…

FitnessBoutique : une franchise qui vous veut du bien

Appareils de fitness, accessoires, compléments alimentaires et nutrition, FitnessBoutique®, à travers ses sites internet marchands et son réseau de 110 magasins, a pour vocation d’accompagner celles et ceux qui ont envie de prendre soin d’eux. Innover toujours et encore En 1999, FitnessBoutique® lance le premier site de vente en ligne…

O2 Care Services : osez, entreprenez, vivez

Créée en 1996, la marque O2 est aujourd’hui leader sur le secteur des services à la personne. Après avoir ouvert plus d’une centaine d’agences en propre et ainsi éprouvé son modèle, O2 a fait le choix de proposer son concept en franchise dès 2012. Un leader qui facilite le quotidien…

Repar’stores : donner une nouvelle vie aux volets roulants et aux stores

Pourquoi changer des volets quand on peut les réparer ? C’est sur la base de cette réflexion qu’est né en mai 2009 le concept de franchise Repar’stores. Guillaume et Roger Varobieff, Yoann Guichard ont été les précurseurs d’un mouvement aujourd’hui dans l’ère du temps : l’économie circulaire et le développement durable. Un…

Cosmétique bio : la ruée vers l’or est-elle terminée ?

Le marché mondial des cosmétiques naturels et biologiques est sur une bonne lancée depuis déjà une dizaine d’années. L’an dernier, le e-commerce a permis de bien résister sur un secteur qui génère pas moins de 12 milliards d’euros.

Le traducteur et l’art de vivre, une spécialisation en plein essor

L’art de vivre permet de tisser des liens en temps de crise, une manière de vivre, être et de penser. Cet art nous rapproche, inspire et apaise pendant cette période de pandémie. Ce domaine est devenu une véritable spécialisation pour le traducteur aujourd’hui, notamment dans les textes « lifestyle », tels que…

« Immobilier commercial : état des lieux et perspectives »

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Flora Nova : l’amour des fleurs est source d’opportunités

Flora Nova est né en 2011 du rapprochement des deux enseignes, Le Jardin des Fleurs et Oya Fleurs. Lorsque la marque Le Jardin des Fleurs est lancée en 1987, c’est alors le premier réseau de fleuristes en libre-service. Quant à Oya Fleurs, la marque affirme depuis sa création sa nature avant-gardiste. Les réseaux profitent désormais d’un marché en bonne santé et qui à cœur de répondre aux nouvelles attentes des acheteurs.

Deux marques, un même esprit

Le Jardin des Fleurs et Oya Fleurs, chacune avec leur identité, incarnent l’ADN du groupe Flora Nova. « Lorsque j’ai choisi de créer Flora Nova, je l’ai fait sur la base de deux convictions fortes. La première : développer un réseau de commerce de proximité. La seconde : s’appuyer sur les franchisés pour construire et développer les réseaux. Autrement dit, bâtir un vrai portefeuille de marques, chacune avec son identité mais toutes les deux complémentaires. Dès lors, lorsqu’un projet de franchise se monte sur une des deux marques, l’idée est de donner la priorité au franchisé de la zone, quand bien même il est franchisé pour l’autre marque », explique Benoît Ganem, président de Flora Nova.

Le Jardins des Fleurs : une marque à l’esprit nature

Au Jardin des Fleurs, on va donc trouver des fleurs en vase, naturelles et surtout pas accessoirisées. C’est presque un esprit cueillette qui rime avec simplicité et générosité qui caractérise le mieux l’enseigne.

Oya Fleurs : osez la créativité florale

Oya Fleurs n’a de cesse de proposer l’inattendu, la créativité dans le design floral, à ses clients. L’enseigne propose des collections nouvelles toutes les cinq semaines. Ici, l’accessoire a tout son sens avec des pièces créées pour cultiver l’imagination et le goût de l’esthétique : « Rose comme une Carotte », la thématique des glaces à l’italienne avec des fleurs en cornets ou la collection « Labo » utilisant pipettes et tubes à essai en guise de contenants.

Des franchisés qui fleurent bon la réussite

« Chez nous, comme ailleurs, il faut cultiver le goût du produit. Ensuite, les plus belles réussites, on le constate tous les jours, ne sont pas forcément des porteurs de projet issus du métier au départ. Appliquer les concepts, c’est se garantir une réussite durable. Ils ont le mérite de se réajuster tout le temps avec un objectif majeur : minimiser le risque pour nos franchisés. En face, nos franchisés doivent avoir le sens du collectif. Je m’attache à les rencontrer en amont lors des réunions d’information. Ensuite, lorsque le candidat est retenu, il fait 3 jours en magasin pilote à Bordeaux ou à Angers. Un temps nécessaire pour percevoir sa personnalité, savoir s’il coche toutes les cases pour faire aboutir son projet avec nous. On l’invite à rencontrer d’autres acteurs du marché et s’il veut poursuivre avec nous, il effectuera 8 semaines de formation en présentiel et en magasin et 2 semaines en autonomie », souligne Benoît Ganem.

Surfer sur la tendance

Flora Nova a de multiples projets d’ouverture, confortée par un marché en progression. A la sortie du confinement, le réseau était à -25% et au 31 septembre à -10%. En novembre dernier, 48% du CA étaient réalisés grâce à la livraison et au click & collect. Le réseau profite aussi de l’engouement pour le commerce de proximité et l’achat plaisir, dans le contexte sanitaire actuel. De quoi motiver de futurs candidats à la franchise. Flora Nova est également engagée dans une démarche RSE avec le bannissement du plastique au profit du kraft.

Les chiffres clés

– CA annuel des réseaux en 2020 : 35 M€ TTC

– Zone de chalandise : 10 000 à 30 000 habitants

– 80 magasins Le Jardin des Fleurs et 20 magasins Oya Fleurs

– Surface minimum : 100 m2 pour Le Jardin des Fleurs et 60 m2 pour Oya Fleurs

– Droits d’entrée : 17 500€ pour Le Jardin des Fleurs et 8 750€ pour Oya Fleurs

– Apport minimum : 20 à 30% de l’investissement

– Royalties : 6% pour Le Jardin des Fleurs et 3% pour Oya Fleurs

– redevance publicitaire : 1.5% pour Le Jardin des Fleurs et Oya Fleurs

– Investissement global : entre 50 000€ et 300 000€ en fonction de plusieurs critères

Infos & Contact

www.groupe-floranova.fr

Guy Hoquet Immobilier : rejoignez qui vous donne toutes les garanties de la réussite

Le réseau immobilier Guy Hoquet est né il y a 25 ans de la volonté de Guy Hoquet, militaire nouvellement à la retraite, de développer un concept qui manquait sur le marché français. Très rapidement, le fondateur créé ses premières agences en association avec ses collaborateurs : la franchise Guy Hoquet était née.

Depuis, le réseau cultive toujours cette même rigueur professionnelle qui a fait sa marque de fabrique et un sens de l’innovation qui lui permet de répondre et anticiper aux besoins de ses clients.

Un maillage hexagonal d’importance

Aujourd’hui, le réseau Guy Hoquet est fort de 580 agences sur toute la France et à l’international. « De la grande ville à celle de taille moyenne, en passant par le petit village, nous n’avons pas d’interdit en matière d’installation. L’essentiel est de nous implanter là où il y a un besoin et où l’offre pourra répondre à la demande. Quelle que soit l’agence, l’approche reste la même : souscrire au contrat d’exclusivité 5 étoiles de notre enseigne. Un contrat qui inclut de nombreux services… et fournit ainsi un sérieux avantage concurrentiel aux franchisés du réseau. Négociation des taux de crédits bancaires, propositions de solutions assurantielles, audit du patrimoine et propositions d’optimisation fiscale, patrimoniale et successorale, diagnostics immobiliers obligatoire voire, le cas échéant, mise en location rapide avec garantie du paiement des loyers, autant de domaines de compétences désormais investis par l’agent immobilier. C’est pour nous une manière d’incarner la nouvelle génération d’agences immobilières et de renforcer notre culture du service et de l’accompagnement », souligne Jérémy Lanos, Directeur du Développement chez Guy Hoquet.

Deux types de candidats à la franchise

Il y a 7 ans, le réseau Guy Hoquet a créé un département chargé de la transaction d’agences immobilières. Un outil innovant et qui facilite le recrutement des nouveaux franchisés. Ces derniers peuvent soit être des cadres en reconversion ou bien des agents immobiliers indépendants, soucieux de gagner en notoriété et en savoir-faire. « Au sein de notre propre Business School, nous dispensons deux types de formation, adaptées à chaque profil, créateur-repreneur ou agent immobilier. Dans le premier cas, le candidat suit un cursus de 11 semaines (le plus long sur le marché), tandis que l’agent immobilier qui nous rejoint suivra lui une formation plus courte, de 4 semaines. Les deux allient théorie, pratique et immersion en agence. Engagement, respect et convivialité sont des valeurs fortes que les candidats doivent partager », explique Jérémy Lanos. Côté animation, le candidat est d’abord suivi par un consultant en stratégie de développement puis un consultant intégrateur et un consultant performance.

Un réseau qui voit loin

Le réseau Guy Hoquet Immobilier entend continuer son développement au même rythme que les cinq dernières années, avec un objectif : capitaliser sur une centaine de nouveaux franchisés par an. « Nous allons également mettre l’accent sur le concept d’agence 2025 qui prévoit une formation illimitée et inclue dans la redevance. Nous avons la volonté de déployer un réseau 100% exclusif, 100% formé et 100% garanti », conclut Jérémy Lanos.

Réseau Guy Hoquet

Les chiffres clés

– CA annuel de l’enseigne en 2020 : 175 Millions d’€

– Zone de chalandise : pas de contrainte géographique

– 580 agences en franchise à ce jour, 3 350 collaborateurs au total

– Surface minimum : au moins 60 m2

– Droits d’entrée : 18 500 € pour les agents immobiliers et 28 500 € pour les créateurs-repreneurs

– Apport minimum : 40 000 €

– Royalties : 690 € fixe + 4% de la redevance au titre de l’accompagnement et 290 € fixe + 1% de la redevance au titre de la publicité.

– Investissement global : 100-120 000 €.

Infos & Contact

www.franchise.guy-hoquet.com

Jérémy Lanos

Tél. : 01 75 64 01 88

Toma Intérim : le choix d’un réseau porteur d’opportunités à tous les niveaux

Le 20 novembre 2006, Michaël Marrel et Virginie Torres se lancent dans l’aventure Toma Intérim. 14 ans plus tard, les voici à la tête d’un réseau de 39 agences majoritairement en franchise partout en France.

Un réseau riche d’une double spécialisation

A 90%, le réseau Toma Intérim répond aux demandes d’intérim des deux secteurs, BTP et industrie. Tertiaire, logistique, agro-alimentaire et secteurs spécifiques régionaux caractérisent le reste de l’offre. Toma Intérim cible avant tout des TPE et PME de 0 à 100 salariés faisant appel régulièrement à des intérimaires. Des entreprises avec lesquelles les franchisés Toma Intérim créent une relation de proximité. Toma Intérim est présent sur toute la France avec 31 agences en franchise et 8 succursales. Objectif : poursuivre le déploiement du réseau avec 7 à 10 ouvertures par an sur tout l’hexagone et atteindre les 50 agences en 2022. « Notre développement repose à la fois sur la croissance interne (certains de nos franchisés sont souvent à la tête de deux ou trois agences) et le recrutement de nouveaux franchisés, particulièrement sur les zones où nous ne sommes pas encore bien implantés, à savoir la Normandie, la Vendée ou le Grand-Est. Une de nos différences repose sur notre façon d’appréhender notre métier. En clair, chez nous, le franchisé est un véritable consultant qui gère autant l’aspect démarchage auprès des entreprises que l’aspect recrutement des intérimaires et la partie administrative des contrats. L’idée est de gérer toute la chaîne de compétences et de maîtriser la relation avec le client, dans sa globalité », souligne Dominique Ravel, Directeur opérationnel chez Toma Intérim.

Des franchisés qui aiment le contact et le terrain

« 30% des franchisés qui nous rejoignent sont forts d’une expérience acquise dans le monde du travail temporaire. Les autres peuvent avoir fait un parcours dans l’immobilier, le commerce, la banque ou les services. Tous, en tout cas, doivent aimer aller sur le terrain, faire de la prospection B to B, donc démarcher. Pour ce faire, une connaissance du secteur géographique où on souhaite implanter son agence est indispensable. Chez nous, le franchisé est 100 % acteur de son agence et de son projet, même s’il a une organisation spécifique que le réseau lui demande d’appliquer (par exemple une quantité de coups de fils et de visites à effectuer par semaine). Une contrainte mais aussi une clé pour réussir ensuite », précise Dominique Ravel. Chasseur de tête, recrutement sur les réseaux sociaux, cooptation, autant de moyens de rejoindre Toma Intérim.

Un accompagnement de bout en bout

Après examen de la faisabilité du projet et des motivations du candidat, le futur franchisé vient une journée au siège social pour rencontrer les co-fondateurs et le Directeur opérationnel. Il passe ensuite une journée en agence, puis suit une formation de quatre semaines afin de bénéficier de tous les outils utiles au démarrage de son activité (juridiques, marketing, commerciaux, comptables). « Je les accompagne sur le montage du projet et la recherche de leur équipe. Je vais ensuite leur rendre visite quatre à cinq fois par an. Nos franchisés ont aussi un back-office qui les aide au quotidien », ajoute Dominique Ravel.

Toma Intérim

Les chiffres clés

– CA annuel de l’enseigne en 2019 : 52 Millions d’€

– Zone de chalandise : sectorisation en fonction de chaque ville

– 40 agences dont 32 en franchise à ce jour

– Surface minimum : 70-80 m2, pignon sur rue

– Droits d’entrée : 22 000 €

– Apport minimum : 50 000 € pour un budget global d’environ 170 000€

– Royalties : 6% sur la marge brute dégagée par nos franchisés la 1ère année, 9% les années suivantes.

– Redevance publicitaire : 0.50 % du CA (et 0.10% du CA de redevance contribution R§D )

– A la fin de la 1ère année, en moyenne, plus d’1 million d’€ de CA pour le franchisé, X2 la 2e année.

Infos & Contact

www.toma-interim-franchise.com

Dominique Ravel

Tél. : 04 77 40 09 45

Le tuyau boursier : AdVini

Vous pouvez miser sur le leader français des vins de terroir. Dirigé par Antoine Leccia, le groupe de distribution des vins du Languedoc, de Bordeaux et du Chablis a certes pâti du confinement et de la fermeture des restaurants avec 248 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2020 contre 266…

La sécurité de leur capital humain : un enjeu pour les entreprises

La chronique économique hebdomadaire de Bernard CHAUSSEGROS Dans un climat social et politique délétère, la sécurité est un sujet omniprésent que nul ne saurait ignorer. Et pourtant, il n’y a pas un jour où la chronique des faits divers ne soit alimentée par ce thème largement repris dans toutes les…

Les entreprises françaises à l’assaut de l’Allemagne

Depuis longtemps, le plus grand marché européen suscite bien des convoitises dans le monde entrepreneurial français tourné vers l’export. Mais on ne pense pas toujours à racheter une société allemande avec le concours de spécialistes. C’est pourtant le bon moment. Explications.

Dominique Romano : le feu sacré

Fixée sur l’arrière-façade du siège de Guibor, la société créée en 1988 par Dominique Romano, semble livrer à la fois la clé de son succès et le secret du bonheur.

« Les « Petits Poucets » de de la pandémie »

Par Catherine Muller, Docteur en psychologie Tribune. La pandémie a fait, des enfants du monde, des « Petits Poucets », à l’image du petit garçon du conte de Charles Perrault. Et ce n’est pas dans n’importe quel contexte que ce conte a été écrit ! Nous sommes en 1697, au cœur du « petit…

Jean-Marc Israël : « Nous souhaitons réenchanter l’Europe »

Fondé à l’automne 2020 à l’initiative d’un Collectif de citoyens européens, le mouvement Défendons l’Europe œuvre pour une Europe forte et indépendante. Membre actif de ce collectif, Jean-Marc Israël, qui achève une carrière de statisticien en banques centrales (Banque de France et BCE), nous explique les fondements et l’ADN de…

Rejoignez la franchise Attila et devenez un défenseur du Capital-toit

1er réseau national spécialisé dans la réparation, l’entretien et la maintenance de tous types de toits, Attila a inventé un nouveau métier, la défense du Capital-toit, avec une offre de service innovante et unique sur un marché B2B à très fort potentiel. Le Capital-toit, c’est la capacité à augmenter la…

« Taiichi Ohno, un regard « lean » sur la valeur »

Par Alain Goetzmann

Tribune. Taïchi Ohno est le concepteur de ce qu’on a appelé le système Toyota. À la fin de la guerre, le constat est navrant. Un ouvrier américain a une productivité 9 fois supérieure à un ouvrier japonais. Or, selon Kiishiro Toyoda, il faut impérativement rattraper les Etats-Unis, faute de quoi l’industrie automobile japonaise mourra.

Ohno y est envoyé pour étudier la production de masse américaine. Or, si l’industrie automobile japonaise est ménagée par une loi protectionniste datant de 1936, elle doit quand même se plier à la concurrence, en termes de prix et de choix, afin de satisfaire des clients exigeants, qui ne sont pas du tout prêts à acheter, par pur patriotisme, des modèles moins bien et plus cher. C’est le handicap de séries forcément plus courtes qu’aux Etats-Unis où les voitures font déjà partie, depuis longtemps, du « way of Life ». De ce défi naît l’idée de génie d’Ohno : produire un éventail très large de voitures, afin d’offrir un vrai choix aux consommateurs et réduire drastiquement les coûts, par un système de production beaucoup plus frugal. C’est le juste-à-temps, la chasse au gaspillage, une organisation de production plus fluide et plus flexible, les kanbans et, le « lean » management.

« Le prix, c’est ce que vous payez. La valeur, c’est ce que vous recevez » a coutume de dire Warren Buffet. La création de valeur pour le client doit reposer sur du solide et non sur une simple perception. C’est l’objectif d’un système de management « lean ». Toyota a toujours su comment maximiser la valeur, même dans des circonstances adverses. Compte tenu de la nécessité de produire, à l’époque, avec des ressources limitées, le constructeur japonais commença par le recensement de toute activité ou dépense qui ne contribuerait pas directement à la valeur qu’un client serait prêt à payer. Ce premier processus de création de valeur fut donc un processus d’élimination. Sur une chaîne d’assemblage, par exemple, si installer le rétroviseur d’une voiture fait, incontestablement, partie de la création de valeur, traverser l’usine pour chercher un tournevis, alors que le véhicule est à l’arrêt, est un déchet. S’il y a plus d’opérateurs que nécessaire pour assembler un véhicule ou plus de pièces en inventaire qu’utile, ce sont des déchets car ils ne font qu’ajouter des coûts inutiles au produit.

La clé de ce raisonnement est que tout déchet, par nature, contrevient à la satisfaction du client. Toute activité, qu’il s’agisse d’un produit manufacturé, de la préparation d’un repas ou du traitement d’un sinistre par une compagnie d’assurance est concerné. Dans le cas de la santé, c’est encore pire : l’objet du travail et le client sont la même personne, rendant les activités sans valeur particulièrement visibles et contestables. Dans les organisations « lean », tous les efforts, c’est un postulat, sont concentrés sur le client. Le taux de défauts, la livraison en temps et en heure ou le relevé d’indicateurs de coût comme la rotation des stocks en sont les exemples les plus marquants.

Ces organisations mettent l’accent sur ceux qui font le travail pour le client. Elles considèrent que les ouvriers en production, les soignants dans les hôpitaux, ceux qui traitent des déclarations dans les compagnies d’assurance sont les gens les plus importants. De ce fait, ceux qui ne « produisent » pas, les études, l’informatique, les relations humaines et même la direction générale, n’ont de valeur que par le soutien qu’ils prodiguent à ceux qui produisent. Quand il est important de savoir ce que vaut vraiment quelque chose, une seule question se pose : « Pourquoi le client paierait-il pour cela » ? Si la réponse est « Je ne sais pas », il est peut-être temps de l’éliminer.

Ce que Peter Drucker traduit par cet aphorisme : « Il n’y a rien de plus inutile que de faire avec efficacité quelque chose qui n’a pas du tout à être fait. »


Alain Goetzmann, Coach et Conseil en Leadership & Management

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Par André Perrissel (Agence Etoile – Paris) Tribune. Pour sa première sortie hors des frontières Françaises depuis le début de la crise sanitaire, le World Property Business Club (WPBC) a choisi Madrid. Du 27 au 30 mai, tout l’immobilier international se donnait en effet rendez-vous au Salon Immobilier International de…

Le remède à la morosité : le bien-être au travail

Depuis bientôt un an, la Covid-19 et son lot de décès, de restrictions, de contraintes font partie de notre quotidien. À la radio, à la télé, dans la rue, la pandémie est de toutes les conversations mais également de toutes les préoccupations.

Le traducteur face aux enjeux du Brexit

Depuis le 1e janvier 2021, le Royaume-Uni ne fait plus partie de l’Union, après des négociations ardues. Les conséquences sont nombreuses et le traducteur n’est surtout pas épargné, notamment pour les traductions des sites du commerce en ligne, les modifications réglementaires et dans le domaine financier. Tout d’abord, le commerce…

Témoignage d’un patron de TPE positif et non rancunier

Par Yvan Raphanel « Résistance et obéissance, voilà les deux vertus du citoyen.Par l’obéissance il assure l’ordre ; par la résistance, il assure la liberté. » Alain Ledit témoignage ne citera aucun nom, personnel ou de société, j’enverrai ce témoignage à qui de droit et ils se reconnaitront. J’ai eu la chance…