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Pitchy : la pépite vidéo des frères Chouraqui


Les frères Chouraqui, Benjamin, 31 ans, et Lionel, 32 ans, partagent plus que les liens du sang ! Ex-étudiants à HEC et à l’ESSEC, ils sont cofondateurs de Pitchy  (75), une plate-forme pour  créer rapidement une vidéo de présentation. «En 2006, nous avons fondé notre première entreprise, Cap Enseignement Supérieur,...

Les frères Chouraqui, Benjamin, 31 ans, et Lionel, 32 ans, partagent plus que les liens du sang ! Ex-étudiants à HEC et à l’ESSEC, ils sont cofondateurs de Pitchy  (75), une plate-forme pour  créer rapidement une vidéo de présentation.

«En 2006, nous avons fondé notre première entreprise, Cap Enseignement Supérieur, aujourd’hui autonome. Du coup, en septembre 2013, nous nous sommes lancés dans une autre aventure avec Pitchy,qui a finalement vu le jour en février dernier», détaillent les intéressés. 

Pitchy rend la personnalisation de vidéo simple

«Nous avons toujours voulu être entrepreneurs. Pour Pitchy, c’est un véritable choix, lié à une opportunité. Réaliser une vidéo était un luxe que ne pouvaient pas se payer les PME. Avec Pitchy, nous rendons la personnalisation de vidéo simple, rapide et surtout très abordable, sans compromis sur la qualité. D’ailleurs, nos estimations sur le potentiel de ce marché se sont confirmées»… avec déjà 15.000 € de CA mensuel !

«Un CA en croissance», affirment les frères Chouraqui, en attendant de fêter la première année de leur start-up pour tirer un véritable bilan. Choisir un business pour changer de vie, c’est donc avoir du flair pour «dénicher» ce qui marchera demain ! «Il y a forcément des difficultés lorsque l’on crée sa start-up, mais c’est aussi une belle aventure. Notre innovation a été bien reçue, auprès des investisseurs comme des clients.

Surtout, nous sommes en contact avec des partenaires, des pépinières et des entrepreneurs qui, tous, portent des projets passionnants, de quoi créer une bonne émulation», témoignent les dynamiques trentenaires. Tout un univers s’est donc ouvert à Benjamin et Lionel Chouraqui qui ne comptent pas s’arrêter là. «Nous allons ouvrir notre technologie  aux grandes entreprises. Nous nous lançons également dans une deuxième application, la conquête du marché publicitaire et du marché des annonces. À cette fin, une importante levée de fonds va se concrétiser et l’internationalisation suivra».

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