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« Qui veut être mon associé ? » Une saison qui en appelle d’autres !


L’épisode 5 de l’émission « Qui veut être mon associé ? »a tenu ses promesses avec une nouvelle fois un bon divertissement et des projets de qualité, mais surtout le buzz autour de l’émission semble appeler une nouvelle saison. Le casting est d’ailleurs lancé, ne laissez pas passer votre chance ! Cette semaine,...

Entreprendre - « Qui veut être mon associé ? » Une saison qui en appelle d’autres !

L’épisode 5 de l’émission « Qui veut être mon associé ? »a tenu ses promesses avec une nouvelle fois un bon divertissement et des projets de qualité, mais surtout le buzz autour de l’émission semble appeler une nouvelle saison. Le casting est d’ailleurs lancé, ne laissez pas passer votre chance !

Cette semaine, nous avons découvert les entreprises Circular présentée par Laurent Bsalis et Amaury K., Flotte de Mickael Pan et Lyly Wu, Ça roule Raoul de Kevin Rodrigues Bastos et Sofiane Harrabi, Explora Project de Stanislas Gruau, La ruche à vélos d’Antoine Cochou, Maël Beyssat, Guillaume Chaumet, et enfin Joue Music Instruments de Pascal Joguet.

De la tech, mais pas que, des projets aboutis, mais pas que, mais surtout, et encore, de belles passes d’armes, de bons conseils et de l’empathie.

On a ainsi constaté au fil des émissions que :

  • Le speech doit être préparé sans interdire une certaine spontanéité (pensé à l’investisseur qui a déjà vu défiler 5 ou 6 personnes avant vous !).
  • Préparez questions et objections.
  • Les investisseurs sont là pour investir dans un projet porteur, ils ont de l’expérience et votre valorisation ne doit pas être artificiellement gonflée par rapport aux débuts de l’entreprise. Cela ne trompe personne et va plutôt faire fuir.
  • On a parfois eu le cas de porteurs de projets arrimés à leurs pourcentages de capital comme une moule à son rocher. Or, vous avez besoin de financement, vous avez un projet ou une entreprise qui n’a pas encore délivré tout son potentiel, ne vous freinez pas. Faites le pari de l’avenir. L’investisseur est là pour que cela marche. Si cela marche, c’est gagnant-gagnant pour tous ! Il vaut mieux lâcher 5% de plus pour un deal que conserver 100% du capital d’un projet qui ne décolle pas.
  • Les affaires n’interdisent pas l’humour.
  • Les affaires n’interdisent pas (dans certains cas) l’émotion.
  • N’oubliez pas le facteur X dont je parlais dans ma précédente chronique, le facteur X, c’est le facteur humain. Nul ne le maîtrise, mais il existe.

Enfin, et surtout, et même si c’est bateau : croyez en vous 😉

Mais restez néanmoins lucides face aux évènements.

Yannick Boutot

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