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Recyclage : Baudelet Environnement s’implante en Normandie


L’expertise en matière de collecte, de traitement et de valorisation des déchets de Baudelet Environnement rayonne en Nord-Pas-de-Calais. Au cœur de son dispositif innovant : un éco-parc implanté à Blaringhem qui permet le traitement et la valorisation de 500.000 tonnes de matières par an, pour un CA de 110 M€, multiplié par 3 en 10 ans.

Entreprendre - Recyclage : Baudelet Environnement s’implante en Normandie

L’expertise en matière de collecte, de traitement et de valorisation des déchets de Baudelet Environnement rayonne en Nord-Pas-de-Calais. Au cœur de son dispositif innovant : un éco-parc implanté à Blaringhem qui permet le traitement et la valorisation de 500.000 tonnes de matières par an, pour un CA de 110 M€, multiplié par 3 en 10 ans.

Le groupe familial, dirigé par son fondateur, Jean Baudelet, 90 ans, qui œuvre depuis sa création en 1964 auprès des collectivités, entreprises et particuliers nordistes depuis son siège de Blaringhem, voit plus loin.

Il part désormais à la conquête du territoire. Baudelet Environnement vient en effet de racheter Gardet & de Bezenac (9,2M€ de CA pour son pôle environnement, 2 M€ pour son pôle recycling). Tout comme le groupe Baudelet Environnement, cette PME indépendante, régionale et familiale créée en 1932, à Yvetot en Normandie, propose la valorisation des déchets industriels ainsi que la collecte et le traitement des ferrailles et métaux.

Pour la famille Baudelet, d’abord motivée par le rapprochement d’activités similaires, «cette acquisition est un relais de croissance et une opportunité de diversification». Par ailleurs, le groupe nordiste s’implante ainsi au cœur de la Normandie, et dispose désormais de deux centres de recyclage, l’un à Grémonville, l’autre à Fécamp.

Enfin, Baudelet Environnement met la main les activités de démantèlement naval et ferroviaire développées par la société Gardet & de Bezenac, le chantier du Havre, celui-là même qui a notamment remporté en 2014 le démantèlement de 18 navires de la Marine nationale, soit 2 ans de travail. De quoi accélérer son développement.

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