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Pourquoi Sea Bubbles quitte Paris


Alors que l’idée avait séduit la ville, la start-up française a renoncé à expérimenter ses hydroptères électriques sur la Seine. Les deux créateurs de ces « taxis volants », le Français Alain Thébault et le Suédois Anders Bringdal, ont indiqué qu'ils n'étaient pas parvenus à trouver un accord avec le port autonome de Paris pour s'implanter dans la capitale.

Entreprendre - Pourquoi Sea Bubbles quitte Paris

Alors que l’idée avait séduit la ville, la start-up française a renoncé à expérimenter ses hydroptères électriques sur la Seine. Les deux créateurs de ces « taxis volants », le Français Alain Thébault et le Suédois Anders Bringdal, ont indiqué qu’ils n’étaient pas parvenus à trouver un accord avec le port autonome de Paris pour s’implanter dans la capitale.

Cette faute à la vitesse trop élevée des Bubbles (30 km/h) et aux tarifs de stationnement (1000 euros par jour). « On ne va pas continuer à pédaler dans le vide en passant des mois à discuter avec les administrations », s’est justifié Alain Thébault. Les deux entrepreneurs ont déjà trouvé un nouvel écrin pour tester leur Bubbles : le lac Léman, en Suisse. D’ici 6 mois, une ligne comprenant cinq engins sera lancée au départ de Genève.

Ces bateaux révolutionnaires qui n’émettent aucun bruit et aucune émission de CO2 ont en tous les cas de beaux jours devant eux, les demandes affluant du monde entier (Detroit, Miami, Seattle, San Francisco, Tokyo, Bangkok…).

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