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Stéphane Courbit au Château de Versailles


Déjà à la tête de l’un des plus grands groupes de production audiovisuelle au monde après la fusion entre Banijay Group et Zodiak en février 2016 (1 Md€ de CA) derrière l'Anglo-Néerlandais Endemol-Shine et l’Allemand Fremantle, Stéphane Courbit s'est lancé un nouveau défi depuis 2013 : l'hôtellerie de luxe avec LOV Hotel Collection (35 M€ de CA).

Déjà à la tête de l’un des plus grands groupes de production audiovisuelle au monde après la fusion entre Banijay Group et Zodiak en février 2016 (1 Md€ de CA) derrière l’Anglo-Néerlandais Endemol-Shine et l’Allemand Fremantle, Stéphane Courbit s’est lancé un nouveau défi depuis 2013 : l’hôtellerie de luxe avec LOV Hotel Collection (35 M€ de CA).

«Notre esprit entrepreneurial nous pousse à identifier les marchés porteurs de demain et d’investir aux côtés de partenaires industriels, entrepreneurs, créatifs…, qui ont tous en commun la passion de l’innovation», indique Stéphane Courbit, Président de LOV Group. Après 3 palaces à Courchevel (Les Airelles et le Chalet Privé Ormello, Aman Le Mélézin et Le Chalet de pierres), un 4ème à Saint-Tropez (le Pan Deï Palais), un 5ème dans le Lubéron (La Bastide de Gordes), cet infatigable entrepreneur a convaincu les plus influents des chefs Alain Ducasse de s’allier à lui pour remporter en avril 2016 l’appel d’offre pour le futur hôtel du Château de Versailles.

Situées dans l’enceinte du château de Versailles, 3 somptueuses bâtisses longeant le parterre de la célèbre Orangerie, sont destinées à accueillir une vingtaine de suites et un restaurant gastronomique. L’ouverture prévue en 2018 offrira une «décoration classique et raffinée, inspirée du XVIIIème siècle».

Coût de l’investissement ? Entre 4 et 7 M€ pour la rénovation et 4 M€ pour l’aménagement intérieur. À 52 ans, cet homme d’affaires pressé compte bien créer un réseau hôtelier européen de 15 à 20 établissements.

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