Les États-Unis sont considérés comme le paradis des start-up, pour les entrepreneurs étrangers les obstacles sont nombreux. Aujourd’hui, trois visas sont offerts aux entrepreneurs qui souhaitent s’implanter outre-Atlantique avec des conditions pour le moins restrictives.
Le visa E-2 : il s’agit d’un visa « investisseur », qui est accordé pour une période de 5 ans aux créateurs d’entreprises prévoyant d’investir au moins 100.000 $ sur place.
Le visa L-1A permet aux entrepreneurs français d’ouvrir une filiale aux États-Unis. Ce visa est valable un an renouvelable.
Le visa start-up, imaginé par l’administration Obama et valable 2 ans. Ce visa est destiné aux étrangers qui détiennent au moins 15% du capital d’une start-up créée aux États-Unis et qui ont levé au moins 345.000 $.
Source : Cabinet Alto Avocats